Oups : vous découvrez un appel d'offres à sa parution.
Gérez facilement en deux étapes :
1- Ne répondez pas.
2- C'est tout.
Découvrir un appel d'offres à sa parution, ça signifie que :
✖ Vous n'êtes pas dans la boucle,
✖ Parce que client n'envisage pas de travailler avec vous,
✖ parce qu'il a un de vos concurrents en tête.
Vous êtes juste là pour faire genre.
Ça fait mal mais il faut accepter.
Un acheteur a horreur de découvrir avec qui il s'engage sur le simple résultat de formules.
Sauf dans le cas de commodités, c'est à dire des trucs indifférenciés, donc interchangeables.
(Mais si vous vendez des commodités...faites votre CV.)
Et plus y'a du pognon en jeu, moins le client aime les surprises.
Comme moi.
Comme vous.
Ne soyez pas dupes : le client a, par avance, une idée du fournisseur qu'il veut.
Ou qu'il ne veut pas.
Le processus de consultation, les évaluations, les notes, toussa, c'est pour l'habillage.
Et c'est conçu pour être "flexible". C'est à dire donner le résultat souhaité avec des airs d'objectivité.
Le client a rédigé un cahier des charges.
Pour cela il a consulté le marché. Fournisseurs, consultants, etc.
Il a été séduit par certains.
Il a écrit en pensant à eux, qui ont poussé les idées clés.
Ce n'était pas vous au stylo ?
✅ Passez votre tour.
✅ Et surtout : travaillez en amont sur d'autres opportunités.
Bon "no bid" >>> mauvais "bid".
Des décisions bid / no bid intransigeantes pour plus d'efficacité ?
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