The Voice est une sacrée business school.
La preuve :
C'est pas vraiment que je regarde, ça me saoule assez depuis tout ce temps.
Toutes ces simagrées des jurés usées jusqu'à la corde.
Mais ma fille oui.
Alors, je vois plus ou moins ce qui s'y passe.
Tous les ans, on a droit à ces plantades.
Et depuis toutes ces années, il y a toujours des candidats.E.e.s pour ignorer cette règle :
On ne passe pas derrière Brel, Piaf, Johnny.
On ne passe pas derrière.
A chaque fois, ça rate.
Point.
Pourquoi ?
Parce qu'ils SONT leurs chansons.
Parce que leurs chansons sont leur interprétation.
Mieux : leurs voix.
Parce que la référence est si ancrée, et si haut, que rien ne va en comparaison.
Donc stop.
Sauf si...
Sauf si on part en contre-pied complet.
Qui tue la référence.
Donc toute comparaison.
Dans une autre registre, c'est ce qu'avait admirablement réussi Jim Bauer avec Tata Yoyo.
Plus personne ne pensait à Annie Cordy.
Et tout monde s'est dit, "merde, j'avais pas compris la chanson en fait..."
Dans vos affaires, c'est pareil :
Si vous vous attaquez à la référence du marché, le concurrent qui formate les esprits,
Hé bien, votre meilleure chance est de prendre son contre-pied.
De poser vos règles.
Votre cadre de pensée.
De créer le "Oh shit moment" de votre client.
Vous tuerez une comparaison où vous ne pouvez que perdre.
Parce que si ça se ressemble, tout le monde prend le leader.
Pas de risques de se le faire reprocher.
Ben oui, se protéger, toujours...
Votre prochaine réponse qui mystifie le leader ?
L'accompagnement est là pour ça :